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Stratégie de l’Université
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Stratégie d’ouverture au monde extérieur
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L’Université est concernée par les sciences et la technologie mondiales et par la nécessité de s’ouvrir au progrès des connaissances. Elle a pu au cours des dernières années, développer ses relations avec des universités et institutions éducatives au Liban et à l’étranger, à commencer par les universités sises au Liban, en France, et ailleurs, grâce à la signature d’accords ou à la participation à des conférences scientifiques spécialisées.
La rapidité du progrès des systèmes d’enseignement supérieur et le progrès technologique actuel à l’ère de la révolution informatique et de la communication exigent de l’Université qu’elle prenne part à cette révolution et s’adapte au progrès actuel. Ainsi, il serait possible de développer le système d’enseignement dans notre Université et de gérer la qualité de l’enseignement en coordination avec les conseils et les institutions, publics et privés, et aussi d’encourager la recherche scientifique en collaboration avec des universités et des centres de recherche dans divers domaines.
L’Université œuvre à l’échange des expertises, des programmes et des systèmes avancés par le moyen de la localisation des techniques modernes et la découverte d’environnements attirants pour des institutions d’enseignement supérieur dans le cadre de la recherche et de l’échange des idées et des connaissances.
Partant de là, le bureau des relations extérieures poursuit l’élargissement du spectre de ses activités dans le cadre d’un plan d’action théorique et pratique. Il a pu préparer la signature d’accords cadres et d’avenants, qui touchent aux différentes activités universitaires, y compris celles qui ont trait aux bourses de spécialisation à l’étranger, à la recherche scientifique et à l’échange d’expertises académiques.
Quant au suivi des relations avec les universités et institutions scientifiques et de recherche à l’étranger, nous pouvons mentionner l’existence de conventions avec des universités arabes, européennes et canadiennes pour des échanges d’expertises scientifiques et académiques, et pour le développement de programmes d’enseignement. Les universités françaises se taillent une grande part dans ce domaine, et ceci avec l’assistance de l’Ambassade de France à Beyrouth que nous remercions infiniment ; sans oublier la participation à la préparation et aux propositions des projets Tempus, dans le cadre du programme Tempus 5, afin de développer la structure de l’Université et d’accompagner les transformations récentes ; et tout ceci a lieu en collaboration avec des universités libanaises et des universités à l’étranger concernées par ces projets.
A signaler aussi la participation à des conférences et séminaires régionaux et internationaux en collaboration avec les bureaux de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF).
Par ailleurs, le bureau des affaires étrangères a préparé la voie à la signature d’accords de partenariat professionnel avec des institutions médiatiques, bancaires, sanitaires et industrielles, en plus de l’Autorité de régulation de la communication au Liban. Notons aussi la signature d’un accord professionnel avec l’Union des avocats arabes.
Le bureau des affaires étrangères a œuvré, et œuvre toujours, en vue d’accroitre le nombre des bourses de spécialisation des étudiants à l’étranger, sans oublier la couverture des coûts de participation des professeurs et des groupes d’étudiants aux conférences pour la recherche scientifique.
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