La revue PLOS One a publié un nouvel article rédigé par un groupe de chercheurs du laboratoire EOHML de l'École Doctorale des Sciences et Technologies (EDST) et de la Faculté de Santé Publique de l'Université Libanaise.

L'article traite d'une étude sur la nature de l'immunité acquise chez les personnes vaccinées contre le COVID-19 au Liban-Nord, en suivant l'évolution des niveaux d'anticorps sériques des participants et la probabilité de contracter le virus.

L'étude s'intitule : « Evaluation of SARS-CoV-2 anti-Spike antibody levels and breakthrough infection risk among vaccinated adults in North Lebanon ».

Les résultats ont montré que l'âge était un facteur associé à des niveaux d'anticorps plus faibles au fil du temps et que le vaccin de Pfizer était plus efficace que celui d'AstraZeneca.